Samedi 29 avril, à l’occasion de l’exposition Kimono, au bonheur des dames, qui se tient au Musée Guimet jusqu’au 22 mai, L’Atelier du Furoshiki a animé un atelier d’initiation (prochain atelier à Guimet le samedi 2 décembre).
Au programme, découverte de l’exposition et du lien entre kimono et furoshiki, nouages et grande énergie des 16 participants. Un beau moment de partage qui ne s’arrête pas là puisque l’une des participantes m’a fait part, dès son retour à la maison, et avec enthousiasme, de son expérience furoshiki.
Je vous livre ainsi quelques extraits de son témoignage, accompagnés de photos de ses créations.

Cela donnera peut-être des idées à certains, encouragera les autres à faire le 1er pas dans l’univers du furoshiki.

« Bonsoir Madame,

Je reviens de votre atelier Furoshiki au musée Guimet. J’ai mis immédiatement en application vos précieux conseils.
J’ai ainsi pu régler mon problème de transport de 2 grands plateaux remplis de sablés fait-maison, que je dois emporter demain matin, à pied sur 1 km ! J’ai également emballé le cadeau que je fais demain avec un furoshiki, de couleur de la tenue qui s’y trouve, cadeau pour une petite fille de 2 ans, j’y ai brodé son prénom dans les angles (broderie machine, ça va plus vite).
(…) Faisant du patchwork, de l’art textile, de la couture, j’ai un grand stock de tissu qui va vite trouver une nouvelle fonction.
(…) Le furoshiki est désormais dans mon sac à main, je m’en ai déjà préparé 5.Comme j’ai un autre cadeau à faire, une bouteille accompagnée de mes petits sablés fait-maison mis dans un emballage cylindrique, j’ai essayé l’emballage 2 bouteilles avec un tissu indien Neelam que j’avais. Mon mari a admiré. (…) »

Yvette

1-Mes premiers furoshikis

2-Sac à 2 anses bleu

3-Habillage boite à mouchoirs

4-Cadeau bouteille

©Yvette Campos.

Bravo Yvette, le résultat est très réussi !

J’ai retrouvé dernièrement une personne qui avait assisté il y a quelques années à l’une de mes initiations et qui m’a confié avoir utilisé le furoshiki lors d’une pêche à pieds. Au gré d’une balade en bord de mer, une pêche aux moules est improvisée mais pas de seau ni de sac pour emporter le produit de cette pêche, qu’à cela ne tienne, le foulard autour du cou est vite noué en panier à deux anses et rempli de moules.
Je n’aurai jamais pensé à une telle utilisation ! C’est pour cela que j’aime les témoignages des « furoshikistes » !

N’hésitez pas à me faire vos retours d’expérience, c’est toujours inspirant !

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